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| you show the lights that stop me turn to stone, you shine it when i'm alone ✝ vingt-neuf juillet, vingt-deux heures. | |
| Auteur | Message |
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Jones
MESSAGES : 260 EMPLOI : sans emploi.
WHO OWNS MY HEART #NOTEBOOK:
| Sujet: you show the lights that stop me turn to stone, you shine it when i'm alone ✝ vingt-neuf juillet, vingt-deux heures. Lun 25 Juil - 21:47 | |
| mari'. Jones. Ou un candidat de télé-réalité particulièrement effacé évoluant sur un yacht. Tiens, d'ailleurs, il n'avait pas encore entendu, ou, du moins, vu, des gens en train de s'envoyer en l'air. À part une certaine Rosaly et un Hassan. Enfin bref, cette histoire était rentrée dans l'une de ses oreilles mais était très rapidement sortie par l'autre. Inintéressant, selon lui. Il avait vagabondé une bonne partie de la soirée sur le bateau qu'il habitait, à la recherche de quelque chose à faire. Mine de rien, il s'ennuyait. En même pas une semaine. Vous vous rendez compte? Il ne se passait pas grand chose ici. Presque endormant. Presque. Il avança donc, quelque part, dans un endroit inconnu. Vers une destination inconnue, en somme. Cependant, une porte entrouverte attira son attention. Le Mistral. Le lieu par lequel il était entré. Intéressant. Il y avait donc quelqu'un qui était entré ici, et soit cette personne était encore là, soit elle avait oubliée de fermer cette porte. Quoi qu'il en soit, elle ne s'était pas ouverte toute seule. Soit. Il poussa un peu plus cette porte, (re)découvrant le lieu. Merveilleux. Sublime. Génial. Mais ce qu'il l'intéressait surtout, c'était cette personne. Vous savez, la silhouette blonde assise sur une chaise de bar, toute seule. Il ne la connaissait pas personnellement, mais savait son prénom. Du moins, il pensait. Il s'avança donc encore un peu vers elle. « Marilou. » Elle allait le prendre pour un fou. Il connaissait son prénom, et il y avait très peu de chance qu'elle connaisse le sien. Soit. Il lui sourit et passe derrière le comptoir. Il se demandait bien ce qu'elle pouvait faire là, seule, dans cette si grande pièce. Mais pas de temps de penser. Il lui adresse un regard assez perçant et sort diverses bouteilles d'alcool du bar. Une idée derrière la tête? Pas du tout. Juste l'envie de se détendre. « J'espère que tu as soif, parce que je ne compte pas descendre toutes ses bouteilles tout seul. » fit-il, lâchant un rire. On allait bien voir si elle était prête à se bourrer la gueule. Ou non. |
| | | Marilou
MESSAGES : 1174 EMPLOI : Doubleuse de voix.
WHO OWNS MY HEART #NOTEBOOK:
| Sujet: Re: you show the lights that stop me turn to stone, you shine it when i'm alone ✝ vingt-neuf juillet, vingt-deux heures. Mar 26 Juil - 0:31 | |
| De mauvaise humeur. On l’est tous, tôt ou tard. Et c’est encore plus pire, quand on est contraint de voir TOUJOURS les mêmes personnes, sur ce même yatch, et, pour le moment, ça fait depuis deux semaines. Ce n’est pas que je ne les aime pas, mes « camarades ». D’ailleurs, je n’en connais même pas la moitié. Mais c’est que, parfois, on en a marre. Sans raison, possible. Je me suis barrée au Mistral, parce qu’au moins, je savais que personne n’y était. Non, mais, ils sont bien gentils, ces gens-là, mais qu’est-ce qu’ils sont énervants. Quelques fois, j’ai envie de leur crier « mais allez-vous faire foutre bande de poisseux », sans raison particulière, mais, y’en a que je n’aime pas. Juste de tête. J’ai pas fait connaissance avec eux ni rien, mais je n’en ai pas très envie. Puis, ajouté à ça, le fait qu’en fait, on se fait drôlement chier ici. Tellement chier que, maintenant, j’ai un bronzage parfait, à force de glander allongé sur une chaise longue, sur le yatch. En fait, il y a deux solutions. Soit tu supportes les autres, et tu te fais (potentiellement) moins chier. Et encore, ce n’est pas assuré. Soit ça t’arrive d’être une espèce d’ermite qui ne supporte pas les gens (oui oui, ça m’arrive, c’est rare, mais ça m’arrive) et tu t’isoles dans ton coin, en ne demandant que la paix. C’est un peu pour ça que je suis seule, au Mistral. Parce que j’ai envie de ne voir personne. Je suis bien tentée de boire un peu, mais ça fait ivrogne de picoler seule. Alors, j’reste sur la chaise, lamentablement affalée sur le bar. Et puis, le drame. Ou presque. J’entends mon prénom. J’ai envie de répondre « non, ce n’est pas moi, casse toi » mais ce ne serait pas très poli. Comme il passe derrière le comptoir, je peux voir sa tronche. Oui, parce que je ne me serais absolument pas retournée sinon hein. Comment est-ce qu’il connait mon prénom celui-là ? C’est l’un des nouveaux. Je me rappelle encore de son baiser chaste, très, très mignon, avec je ne sais plus qui, lors de la petite soirée de lundi. « Jovanny. » que je réponds. Oui, je sais très bien que ce n’est pas son prénom. Mais je ne sais pas non plus quel est son prénom. Alors, j’ai dit le premier prénom qui me passait par la tête. Je le redresse quand il sort quelques bouteilles d’alcool. C’est plus intéressant. Vraiment. Il est peut-être pas si chaste que ça, le Jovanny. Finalement, il arrive à me décrocher un sourire. « J’ai soif. » Buvons, buvons comme des ivrognes en deuil. Bon dieu. Un ivrogne, ça boit énormément. Mais un ivrogne en deuil, qu’est-ce que ça doit être. Ça fait un peu miséreux, de boire à deux. Je trouve. Mais c’est déjà mieux que tout seul.
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| | | | you show the lights that stop me turn to stone, you shine it when i'm alone ✝ vingt-neuf juillet, vingt-deux heures. | |
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