Je crois que je suis un peu ivre. Je crois, parce que là, je marche dans le couloir entre les cabines sur la pointe des pieds. Mais vraiment hein. Et je m’imagine avoir un pistolet, ou quelque chose comme ça, prête à tirer sur voldemort. Imaginons qu’il puisse mourir avec une balle. Imaginons. En fait, si je suis sortie de ma cabine, c’est parce que j’crois que j’ai entendu un bruit dans les cuisines. Donc, ça me perturbe, parce que je ne sais pas d’où ça peut venir. Peut-être qu’il se trouve là-bas, voldemort. Oh le coquin. Il pique la réserve de lait. Alors, je marche lentement pour aller dans les cuisines. Je tombe en chemin. Soldat perdu en court de route, mais, je survie et j’remonte courageusement sur mes jambes. J’ai dû trop boire pour galérer à marcher comme ça. Hum. Et, j’arrive dans ce fameux endroit. Les cuisines. Pas un bruit. Pourtant, j’suis persuadée d’avoir entendu quelque chose hein. Douteux. Absolument douteux. On nous cache des choses dans ce yacht. Je suis sûre. On va tous nous tuer. Squick. Et ça ne fera pas des chocapics si vous voulez mon avis. Alors, je m’avachie faiblement sur le comptoir de la cuisine. Je suis raide. Doux jésus. Je suis rance aussi. Et, du bruit, encore une fois. Quelqu’un qui arrive. Alors, je me précipite vers le frigo et y ouvre la porte, pour faire comme un bouclier. On ne sait jamais. Et je souris bêtement, parce que y’a pleins d’œufs dans le frigo, j’ai des munitions. Y’a des bruits de pas. Quelqu’un entre dans la cuisine. Mode survie. J’attrape un œuf et le jette rapidement sur la personne qui vient d’arriver. Je lève la tête pour voir si j’ai manqué ou non ma cible. Et je vois Peppy. Je l’ai eu en pleine tête. J’éclate de rire.

Bouteille de bière à la main, je regagnais ma cabine, titubant légèrement, je m'aidais des murs pour avancer sans encombre. Rien de bien extraordinaire jusque là. Mais soudain, la silhouette familière de Marilou se dessina dans l'ombre du couloir. Perplexe, je la suivais, jouant les espionnes de fortunes, la discrétion en moins. C'est dingue, en la regardant, on aurait facilement pu croire qu'elle partait à la chasse d'un quelconque vilain comme on en voyait dans les films d'actions. Les seuls vilains de la maison susceptible de râler, c'était Hassan et Sawyer. Deux râleurs. Pour une illustre raison, rien ne trahi ma présence, elle fila vers la cuisine sans prendre la peine de se retourner et donc, de remarquer ma présence. J'arrivais sur les lieux du crime lorsqu'elle ouvrait le frigo. Elle fit volte face, me balançant un œuf à la tronche. Si je n'avais pas voulu l'esquiver, elle ne m'aurait probablement heurter. je laissais échapper un grognement, m'avançant vers elle tout en portant la bouteille à mes lèvres. J'en bu quelques gorgées et déposai le cadavre sur le plan de travail. Je me plantais devant elle, les cheveux dégoulinant d'un corps visqueux et répugnant. Une lueur vengeresse, que l'obscurité masquait, animait mon regard. Ni une ni deux, je lui écrasais la tête dans un reste de pudding, là au milieu du frigo. Dans un éclat de rire je m'éloignais, ouvrant les armoires à la volée à la recherche d'arme et de bouclier. Je me planquais ensuite de l'autre côté du plan de travail, recroquevillée avec quelques minutions. Elle voulait la guerre? Elle allait l'avoir.

Pepper a de l’œuf qui dégouline de partout. C’est marrant. Et assez dégoutant. Ça me fait rire. Elle m’écrase la tête dans quelque chose, cette tarée. DAAH, doux jésus, j’ai un truc sur la tronche, pitié, aidez-moi ! Je panique une fois la tête relevée en essayant de tout retirer, mais, j’y arrive pas. Je vois plus rien colonel, je suis perdue, perduuuuue. Help. Mayday, Mayday. Je me frotte les yeux. Ca va mieux. De toutes manières, c’est difficile de voir correctement dans la nuit. Et aucune de nous deux n’aurait l’intelligence d’allumer la lumière. Jamais. Elle, cachée derrière le plan de travail, et moi cachée derrière le frigo. C’est la guerre. Je suis seule. J’ai dû perdre tous mes soldats en route, j’imagine. J’examine un instant le contenu du frigo. J’ai pas assez de munitions. Je crois que je ne peux pas me sortir vivante de cette guerre. Doux jésus. Il est peut-être temps de prier. Je vous salue, Marie, pleine de grâce … putain, je ne connais pas la suite. Je crois que je peux dire adieu pour l’aide du seigneur. Il n’y a plus que moi. Moi, et moi seule contre l’ennemi. Pépito. En plus, elle est avantagée, elle a un nom de gâteau. Elle a l’aide des aliments avec elle. La salope. Elle est plus forte que moi. Je regarde ce qu’il y a dans le frigo. Pendant ce temps, c’est le silence complet. J’imagine qu’elle complote quelque chose. Je décide de prendre un risque. Tant pis pour le bouclier. Si j’crève, ce sera de façon héroïque. On marquera « Marilou, elle n’a pas eu peur d’aller dans le camp de l’ennemi » sur ma tombe. J’attrape une bouteille de lait, et je me lève. « Pépiiiiii, j’abandonne. T’es trop … » trop quoi déjà ? je sais plus ce que je voulais dire. « Enfin voilà. » Et, sans attendre une seconde de plus, je saute sur le plan de travail et vide la bouteille de lait. Je regarde les dégâts. Rien, sauf du lait par terre. Elle s’est faufilé autre part la garce. « Naoooooon mais tu triches c’pas juste ça. » je me recroqueville sur le plan de travail, et je regarde un peu partout. Je dois avoir l’air d’une petite souris apeurée. Elle peut être n’importe où. Elle peut me tomber dessus n’importe quand. Je suis foutue.

Planquée sous le couvercle du casserole, l'une de mes mains était posée contre ma bouche pour éviter que mes éclats de rire ne se fasse entendre. J'étais recroquevillée sous mon bouclier de fortune, en position pipi nature, tout ce qu'il y a de plus élégant pour une demoiselle. Ma bière était à mes pieds -oui, j'en avais une deuxième sous la main- , pratiquement pleine. Je pinçais mes lèvres l'une contre l'autre pour ne pas rire et m'autorisais à enlever ma main pour m'emparer de la bouteille. Je bouchais le goulot à l'aide de mon pouce, secouais frénétiquement la bouteille et me relevais soudainement pour enlever mon pouce, pointant mon arme vers une Marilou perchée sur le comptoir. La voilà aspergée de bière. YEAAAAAAAAAAAAAHA. Je me planquais derrière le fameux couvercle pour courir vers le placard où l'on conservait la farine. J'avais une certaine connaissance des lieux pour avoir fait la cuisine à plusieurs reprises. Malheureusement, c'était sans compter sur le lait que ma chère et tendre adversaire avait répandu sur le sol. Je glissais sur mon pied comme s'il s'agissait d'un patin et glace et me vautrait contre l'une des portes grâce à laquelle on accédait à la cuisine. Le bouclier retombait à côté de moi dans un fracas indescriptible. Je laissais échapper un cri douloureux, restant étalé au sol comme une vieille crêpe qui aurait loupé son saut de la poil. Aieuh. Bobo. Y a plus de bière. Marmonnais-je alors.

La sale garce, elle m’attaque en douce. Elle surgit de je ne sais pas trop où et m’asperge d’un liquide. Je passe ma langue sur mes lèvres, et souris. BIERE ! Marilou veut bière. Maintenant. Tout de suite. Où est-ce qu’elle a trouvé ça elle d’ailleurs ? Pourquoi elle n’a pas partagé ? Parce qu’elle est radine. Oh la sale radine. Je ne bouge pas d’un poil sur mon comptoir, alors que la bière dégouline d’un peu partout, et que j’entends Pepper glisser lamentablement sur le lait. Ahah. Finalement, j’ai bien fait d’en verser là. J’éclate de rire. Je me dis qu’on a de la chance que personne ne se réveille et ne puisse voir les dégâts qu’on cause à cette malheureuse cuisine. Je décide de me lever, et je tâte en direction du sol pour bah … le trouver. Et je descends du comptoir. Un immense sourire se dessine sur mes lèvres lorsque je saisis un pot de pâte à tartiner. Elle va morfler. Oh que oui. Je ne prends même pas la peine de lui demander si elle va bien ou pas. Logiquement, elle ne va pas trop bien. Une blessée à la guerre. Je m’en fiche. Je suis contre elle. Et, je la vois, étalée au sol. Sourire de vainqueur, je m’installe sur son bas ventre, et éclate de rire, encore une fois. Je retire le couvercle du pot de pâte à tartiner. Et, j’y plonge gracieusement mes doigts. Et paf. Pepper s’en retrouve couverte en quelques minutes un peu partout sur le visage. Une Pepper tartinée. Je crois que j’ai gagnée, parce qu’elle est sous moi (heureusement que je suis légère hein) et qu’elle est recouverte de pâte à tartiner. Et puis, comme c’est trop tentant, j’approche mon visage et ne peut pas m’empêcher de léchouiller le bout des lèvres de Pepper. La force de la pâte à tartiner, j’y peux rien. « Tes lèvres ont un très, très bon goût de Nutella tu sais. »

Quelle tarée. Elle se jetait sur moi pour me tartiner de pâte à tartiner au chocolat. Quelle garce. J'avais bien tenter de me débattre, mais impossible, en se mettant ainsi sur moi, elle avait pris le contrôle de la situation. Oh, elle avait gagné une bataille, mais elle était loin d'avoir gagner la guerre. Elle s'approchait alors de mon visage, jouant de sa langue contre mes lèvres, éveillant en moi des sensations que je ne connaissais pas, sans doute insuffler par l'alcool que j'avais ingurgiter au cours de ces dernières heures. Mes bras s'emparaient de ses mains, mes doigts refermant leurs étreintes sur ses poignets, l'empêchant au moins d'en faire encore davantage. Je me trémoussais toujours, tentant en vain de me dégager de sa prison de chaire. Mes pieds se battaient dans le vide, comme un poisson qu'on viendrait de sortir de l'eau. j'arrêtais de me débattre, essoufflée avant l'heure. C'est alors que d'une impulsion, j'attirais brusquement la blonde contre moi, plaquant mes lèvres contre les siennes avec plus de fougue que lors du Prime. J'en profitais pour lui donner un peu de la charmante mixture qui recouvrait mon visage. Ses lèvres avaient un gout étrange, la bière, le chocolat et le mélange dans lequel je lui avais plongé la tête. Merde, c'est le reste de mon tiramisu aux fraises.

Ça me fait rire, Pepper qui tente de se débattre comme ça. Pour une fois, j’me sens « forte » comparée à quelqu’un. En plus, j’ai l’arme de la pâte à tartiner. Si ce n’est pas super ça. Vainqueur. Quand je l’ai gentiment léché les lèvres, je vous assure, ce n’était pas un plan drague ou je ne sais quoi. C’était vraiment pour la pâte à tartiner, rien que ça. Sans aucune, vraiment, aucune arrière-pensée derrière la tête. Et, elle décide de m’tenir par les poignets. Merde. Coincée. Je souris, comme une conne. C’est alors qu’elle décide de passer à l’attaque autrement. Elle m’embrasse. Oui, oui. Un vrai baiser. Fougueux, tout ça. Un très, très bon baiser. Beaucoup moins fait « à la va-vite » que celui du prime. Beaucoup mieux. C’est drôle, le mélange de saveur que ça peut donner tout ça. Parce qu’on est un peu recouverte de tout et de n’importe quoi. Bière, œuf, pâte à tartiner au chocolat, le truc où elle m’a plongé la tronche. Un peu de tout. Je me redresse un peu. Et puis, j’éclate de rire. Je sais pas pourquoi. Je ne sais pas non plus pourquoi je retourne à ses lèvres à elle. Peut-être à cause de la pâte à tartiner, ou parce que j’ai envie de l’embrasser, j’en sais rien. Alors, je joue avec ses lèvres, sa langue. Je coopère avec l’ennemi. Ce n’est pas de ma faute si c’est Pepper, mon ennemi, en même temps. Et puis, après ce troisième baiser en tout et pour tout, je me laisse tomber à côté de Pepper et la laisse « tranquille ». « Dis, tu m’as bien dis que t’avais jamais rien fait avec une fille ?» c’est peut-être une proposition, j’en sais rien. C’est peut-être la suite logique, de coucher, après deux baisers. Faut dire aussi que, je crois que j’ai rien fait pour le moment avec une fille ici. Ce serait la première.

Je pinçais les lèvres l'une contre l'autre alors qu'elle se redressait, laissant son rire éclater. Je devais être parano, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'elle se foutait de ma tronche alors que je venais de l'embrasser. Fallait pas chercher, j'étais légèrement susceptible. Mais voilà qu'elle reprenait mes lèvres d’assaut. C'était dingue, parce que lorsque je l'avais embrassé pendant le prime, je n'avais rien ressenti du genre, c'était peut-être parce que j'avais trop d'alcool dans le sang, ou parce qu'on s'appliquait beaucoup plus, ou tout simplement parce que l'ambiance et l'instant s'y prêtait... Quoi que, on peut pas dire que se balancer de la nourriture à la gueule, c'était super sexy!!! Enfin, je ne savais pas, peut-être qu'au fond, j'étais attirée par elle. Mais j'm'en fous, je préférais pas y penser, je préférais agir comme bon me semblait, puis on aviserait par la suite. C'est pas comme si ça changerait quelques choses, j'aurais plus de possibilité. Puis au pire, c'était qu'une expérience, une chose à barrer de ma liste. Autant que je le fasse avec elle plutôt qu'une autre. Dis, tu m’as bien dis que t’avais jamais rien fait avec une fille ? J'hausse mes épaules. Il faut une première fois à tout, non? C'est comme si ça me faisait rien de franchir le pas, enfin, non, ça me faisait quelques choses, mais ça ne me tracassait pas qu'elle soit la première. l'alcool avait dissipé tout les doutes que j'aurais pu avoir. Ou alors, j'étais plutôt confiante. En tout cas, je me redressais, venant à nouveau quérir ses lèvres, les gouter, encore. Mes mains s'emparaient de son visage, libérant ses poignets de mon étreinte.

Il faut une première fois à tout. Tout à fait. Je crois que je suis contente d’être la première fille avec qui Pepper va le faire. C’est comme dépuceler quelqu’un. Enfin, presque. Je me comprends. Disons que c’est faire découvrir autre chose. Quelque chose de nouveau, d’inconnu. Et faire tout son possible pour que la personne aime. Et elle m’embrasse, encore une fois, tout en prenant entre ses mains mon visage. Pas très « propre » à cause de l’espèce de gâteau où il avait traîné. Oh, c’est de sa faute ça hein, elle n’avait qu’à pas me foutre la tête là-dedans. Non mais. En tout cas, la bataille est finie maintenant. On passe aux choses plus sérieuses. Avec un léger sourire, je passe ma main dans ses cheveux, remplis de jaunes d’œufs. C’est vrai que dans le genre attirant, on fait mieux, beaucoup, beaucoup mieux. Mais, après tout, ce coup-ci, j’en suis la totale responsable. Elle sous moi, moi sur elle. Position dominante. Mouahah. Que la force soit avec moi. Je lui rends son baiser, et descends lentement mes mains le long de son corps. Je délaisse ses lèvres pour parsemer de petits baisers son cou. J’espère que ce ne n’était pas une parole en l’air et qu’elle est véritablement partante. Qu’elle n’ait pas de regrets après. Rien. Mes mains en sont en caresser ses jambes, ses cuisses, et je tombe sur ce fameux combi-short. Dommage, mes mains seraient bien allées un peu plus haut tiens.

Ses lèvres, ses mains, sa peau. Bordel. elle éveillait en moi des sensations dont j'ignorais l'existence. Si seulement ce mélange immonde ne nous collait pas à la peau. Puis franchement, quelle idée de foutre une Combi-shirt. Note à moi même, foutre des jupes, c'est nettement plus pratique et plus rapide. Rah. Connerie de fringue. Je frémissais sous ses caresses, gardant son visage entre mes mains, je finissais par repousser son visage. Franchement, je suis désolée mais c'est trop dégueu, on va sous la douche? Oui, la douce, je le sentais bien comme ça. J'étais collante, dégoulinante et répugnante, il n'y avait rien de désirable là dedans. Le bordel qu'on avait foutu? Après, il serait toujours temps de s'en charger après. En fait, je n'y pensais même pas, je n'avais qu'une seule envie, l'entrainer sous la douche. Malheureusement, c'est elle qui était sur moi, je ne pouvais donc pas bouger tant qu'elle même ne s'était pas relever. J'emprisonnais ses lèvres encore quelques secondes avant qu'elle ne puisse me répondre. C'est dingue ce que l'on pouvait s'y faire, à ses baisers. A moins que ce soit encore l'alcool qui parle. Hm. Non. La douche s'est obligé.

Ce que dit Pepper a le don de me faire rire. Pour pas grand-chose, je sais. Mettons ça que l’alcool, hein. Mais c’est vrai qu’on doit avoir l’air particulièrement affreux dans cet état-là. L’ennui, c’est que je ne sais absolument pas si j’aurai la force ou même l’envie de me déplacer jusqu’au douches. Je pourrais pioncer là, sur le sol de la cuisine, je n’en aurais rien à cirer. Avec ou sans partie de jambe en l’air. J’ai bien compris ce qu’elle vient de dire hein, mais mon corps refuse de se lever. Allez savoir pourquoi. Une flemme aigüe. Ou un manque de courage de faire quelques pas. Quoi que c’est peut-être la définition de la flemme, tout ça. Je n’en sais rien. Nouveau baiser. En effet, la douche, c’est obligée. Après quelques secondes à me dire « yes you caaaaan do it » je me lève. Enfin, pas aussi rapidement. Je m’accroche au meuble le plus proche pour être sûre de ne pas faire un essai pour rien et de ne pas retomber par terre (ou plutôt sur Pepper). Je m’y accroche comme s’il est question de ma vie, à ce meuble, parce que je me demande si je marcherai droit ou non. Entre tout le bordel qu’on a foutu par terre qui peut me faire glisser ou trébucher, entre l’alcool que j’ai bu comme m’donne l’impression que le bateau tangue puissance dix-milles, et le fait que je vois un peu flou, ouais, je me demande ce que ça va donner. Je m’accroche finalement au bras de Pepper pour un nouveau soutient. Hm. En espérant qu’elle marche convenablement, sinon, on est mal foutu. La salle de bain. Ouais. Les douches. C’est où déjà ? Je suis perduuuuuue. Il fait tout noir en plus. Je fais quelques pas dans une direction inconnue, manquant de me vautrer par terre s’il n’y avait pas Pepper. Doux jésus. Rien ne va plus. Je crois que je vais attendre qu’elle me « guide » hein, pour savoir juste la direction. Hum.