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| oye mami, vuélvete loca, aruñame la espalda y muérdeme la boca ⁂ 18 août, seize heures. | |
| Auteur | Message |
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Jones
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| Sujet: oye mami, vuélvete loca, aruñame la espalda y muérdeme la boca ⁂ 18 août, seize heures. Mar 16 Aoû - 1:48 | |
| harley.
Jones poussa la porte de la salle de détente et découvrit avec surprise qu'aucun autre candidat avait envahie la pièce avant lui. Tiens, il aurait pourtant juré que d'autres personnes s'étaient introduites dans cette grande pièce, mais, finalement, non. Et tant mieux, il allait pouvoir profiter d'un moment de solitude mérité et surtout voulu. Bon d'accord, il aurait toute la solitude qu'il souhaitait, peut-être en dimanche, lorsqu'il quitterait le bateau, mais il avait envie de tester plusieurs activités de cette pièce. Sa nomination. Il l'avait prise avec sourire. Après tout, il avait signé pour ça, pour ce jeu, il savait que cela devait arriver un jour ou l'autre. Il n'était pas triste, ou en colère contre Percy. Contre personne d'ailleurs. C'était.. le jeu. Bref. Il entra donc dans la grande salle, vide, comme il l'avait remarqué, tournant le regard dans tous les sens, scrutant la pièce. Un piano. Parfait. Il était nul. PAR-FAIT. Il s'assit donc sur le banc en face de l'instrument et, arquant un sourcil, appuya sur les touches. Diverses touches choisies au hasard par ses doigts, qu'il laissait valser sur celles-ci. Il n'était pas doué, non. Il était même incapable de faire quelque chose de plaisant à l'oreille. En même temps, qui, sur ce bateau, arriverait à le faire ? Non, ce qu'il faisait, c'était de la grosse merde, à en rendre sourd. C'était peut-être de sa faute si Rosaly était sourde, au fond. Hm. « Beurk. » lâcha-t-il, grimaçant presque. Burk. Vraiment. Comment pouvait-on être aussi incompétent que ça ? C'en était presque terrifiant. Il roula des yeux, se leva, naturellement, puis se tourna, ayant pour objectif de rejoindre la porte qui était au fond, mais c'était sans compter sur une personne qui lui 'bloquait' la route. Ou presque. Il se retrouvait donc nez-à-nez avec cette candidate, puisqu'il avait reconnue la belle Harley. « Rassure moi... Tu n'as pas entendu... ça ? Hein ? » fit-il, grimaçant encore un peu. Ce serait bête d'avoir une deuxième sourde sur le bateau, non ?
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| | | Harley
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| Sujet: Re: oye mami, vuélvete loca, aruñame la espalda y muérdeme la boca ⁂ 18 août, seize heures. Mer 17 Aoû - 10:48 | |
| Je revenais tout juste d'une balade en plein coeur d'Athènes où il faisait une chaleur à crever si bien que j'étais complètement vannée. Après une petite douche nécessaire, j'avais décidé de profiter de la salle de détente pour comme son nom l'indiquait me détendre. Je me doutais qu'elle devait être vide à cette heure-ci bien que j'allais réellement pouvoir me détendre. Une bouteille d'eau dans les mains avec laquelle je me désaltérais, je m'approchai de la salle et un son étrange provenait de celle-ci. Je m'approchai poussé par ma curiosité maladive pour remarquer que quelqu'un massacrait littéralement un air au piano. Amusé et sadique jusqu'au bout, j'attendis que la-dite personne ne termine son morceau caché dernière la porte pour y entrer par la suite. Poussant la porte finalement, je me retrouvais nez à nez avec Jones, que j'aspergeais d'eau par mégarde, surprise qu'il ne se retrouve aussi prêt de la porte, c'est qu'il avait fait vite. « Whoops ! » Lançais-je en grimaçant, avant de finalement sourire, pas réellement désolée finalement, ce n'était que de l'eau et il faisait super chaud alors il ne pourrait pas m'en vouloir. Il me demanda ensuite si j'avais entendu l'horrible air que je ne pouvais même pas identifier. « Quoi ce truc ? C'était ... Hum ... Spécial et particulier ... Non en réalité c'était horrible. N'approche plus jamais cet instrument pour le bien de tous par pitié. » J'attrapais ses épaules l'air grave, comme si la survie de l'humanité en dépendait, avant de le lâcher finalement et de rire aux éclats. |
| | | Jones
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| Sujet: Re: oye mami, vuélvete loca, aruñame la espalda y muérdeme la boca ⁂ 18 août, seize heures. Mer 17 Aoû - 23:09 | |
| Avant qu'Harley n'arrive, le jeune homme était posté devant la porte, prêt à tirer sur la poignée pour sortir. Mais visiblement, la belle Harley avait eu envie de l'embêter un peu. Boarf, elle était gentille malgré tout. Malgré le fait qu'elle venait de l'asperger d'eau. Il n'était qu'habillé. Ce n'était rien, bien sur. Ce qui était le plus surprenant là dedans, c'était qu'elle ne s'était même pas excusée. Donc oui, Harley était une garce. Une belle garce. Car elle était belle, et que c'était une garce. M'voyez. « Oui tu peux être whoopsée là. » fit-il, avant de sourire. Et de lui faire une pichenette gentille sur le front, en guise de vengeance, et aussi pour enterrer la hache de guerre. La suite était plus dérisoire, ironique. Il était nul au piano, on avait bien compris. Il était nul au chant aussi. À la danse.. n'en parlons pas. Il était nul partout. Mais là n'était pas la question. Harley confirmait. C'était terriblement nul. Mince alors. Pleurer, rire ? Que faire ? Il se contenta de répondre à cette.. provocation, par des mots. Des mots qu'elle comprenait, bien sur. Il se mit à tourner autour d'elle, comme pour instaurer une ambiance de terreur. « Tu as déjà regardé Black Christmas ? C'est un mec qui zigouille toutes les nanas d'une sororité, tu vois. Et il leur mange les yeux. Parfois. Charmant, je sais. Et bien, je me sens assez proche de toi aujourd'hui pour t'avouer que... je suis un tueur en série. Et que je vais tous vous tuer. Bouh. T'as peur ? Heiiiiin, diiiiis, t'as peur ?! » Il fit une mine boudeuse, avec des yeux de chiens battus, comme pour l'attendrir. Il se doutait bien qu'elle n'avait pas peur, mais bon, l'espoir fait vivre, c'est bien connu. Puis, elle pose ses mains sur ses épaules. Il regarda l'une de ces dernières avant de lâcher un rire franc. Il la regarda ensuite. Il fait semblant de toquer sur le crâne de son amie avec sa main. « Ca sonne creux là dedans. » Il se stoppa quelques secondes, avant de reprendre, toujours cet air niais collé au visage. « Au fait.. il est où Davidson ? AHAH ! » Il n'avait vraiment pas froid aux yeux, ce Jonie. |
| | | Harley
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| Sujet: Re: oye mami, vuélvete loca, aruñame la espalda y muérdeme la boca ⁂ 18 août, seize heures. Jeu 18 Aoû - 13:20 | |
| C'est vrai que l'usage voulait qu'on s'excuse dès qu'on faisait une chose qui pouvait agacer les autres. Seulement il n'en était rien pour cette fois. Au contraire, j'avais même souris, amusée par la situation, bon par chance Jones n'était pas énervé, c'était un comble tout de même de s'énerver pour une malheureuse goutte d'eau tout de même. S'en était suivit, une légère pichenette sur mon front. « hé mais hé ! » M'étais-je contenté de répliqué posant une main sur ma hanche feintant la contrariété qui n'avait pas lieu d'être. Il pouvait m'être reconnaissante que je ne lui ai pas versé la bouteille entière sur la tête pour la peine. Plus tard peut être. D'humeur plutôt légère, j'avais bien envie de m'amuser aujourd'hui, dévoilant une nouvelle facette de ma personnalité jusqu'à lors enfoui. C'était pour cette raison que j'avais appuyé ses dires rétorquant que c'était effectivement horrible ce qu'il venait de jouer. De toute façon je ne savais pas mentir alors à quoi bon lui faire croire que j'appréciais alors que ce n'était clairement pas le cas. Il se mit à tourner autour de moi, croyant certainement m'effrayer avec son visage d'adolescent à peine sortie de la puberté, il était plus mignon qu'effrayant en réalité. « Jamais entendu parlé. Mais oui, très peur, extrêmement peur, bon ça se voit pas trop là mais à l'intérieur mes genoux jouent les castagnettes tellement j'ai la frousse, si je te dis que je n'ai pas fait partie d'une quelque conque sororité tu m'épargneras dis ? Heinn, s'il te plait ? » J'avais fait preuve d'un dépit de paroles hallucinant si bien que je doutais qu'il ait tout compris, mais peu importe, j'avais de toute façon utilisé le même ton et le même regard de chien battu que lui. Alors que je le tenais toujours fermement, comme pour le raisonné, il feintait de toquer sur mon crâne, si bien que je le lâchais pour rire aux éclats. « Eh oh, je suis blonde, t'avais pas vu ? » Une nouvelle main sur mes haches, je pris une posture des plus stupide jouant la blonde écervelée jusqu'au bout. C'est fou que j'étais douée pour ça si bien qu'on aurait pu aisément croire que j'étais parfaitement stupide. Sa question suivante me fit mourir de rire tant c'était stupide et qu'on me l'avait déjà fait un bon nombre de fois. Nonchalante à souhait, je le fixais dans le blanc des yeux. « Dans mon lit attendant patiemment que je le chevauche ... » L'air de rien, j'ôtais le bouchon de la bouteille d'eau que je tenais entre les mains, et au moment de la porter à mes lèvres, je décidais d'asperger le New-Yorkais. Une pulsion simplement. Il était trempé et je ne pouvais m'empêcher de le regarder victorieuse souriant largement. |
| | | Jones
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| Sujet: Re: oye mami, vuélvete loca, aruñame la espalda y muérdeme la boca ⁂ 18 août, seize heures. Jeu 18 Aoû - 21:11 | |
| Il lâcha un rire franc à sa première phrase. En réfléchissant bien, il ne connaissait rien d'Harley. Il savait quel était son nom - sans blagues - et aussi son âge. Mais à part ça, pas grand chose. Cependant, c'était la candidate qu'il connaissait le plus, car c'était la première personne avec qui il avait discuté, lors de son entrée, il y a de ça quelques semaines. Et que de bien s'entendre avec une personne inconnue dès son entrée dans un jeu de télé-réalité, ça donnait vachement confiance en soi. Bon certes, ils n'avaient pas beaucoup discuter l'un et l'autre, ce soir là, mais disons que des liens - même minimes - s'étaient crées. Et c'est cool. Comme les lasagnes. C'est cool les lasagnes. Complétement hors-sujet, au revoir. Enfin soit, il se contenta de sourire, comme d'habitude. Le sourire facile, il l'avait. Pour bien des choses. Pour les choses marrantes. Le sourire, il l'avait. Pas pour les choses méchantes. Non. Ni pour certaines personnes. Son ancien meilleur ami - ce n'était qu'un exemple parmi tant d'autres, Jones était plutôt du genre à énerver qu'à amuser -, lui, pouvait crever pour avoir ne serait-ce qu'une esquisse de sourire. Bref. Il ouvrit la bouche, par la suite, prenant un air choqué et surtout offusqué. « Inculte ! Beh... disons que.. ma mère m'a dit de zigouiller tout le monde, tu vois, et je peux pas trop faire d'exception.. C'est assez problématique. » Oui, sa mère était dans le coup. Soudain, il sortit un couteau qu'il cachait dans sa poche et tranchait la gorge d'Harley. Non c'était une blague. Ahahah. Passons. Non en fait, il l'épargnerait. Il l'aimait bien, elle était plutôt belle et sympathique : pourquoi tuer une personne telle qu'Harley, dans ce cas ? Cela aurait été totalement stupide. Quoique... Elle avait entendu le jeune homme massacrer ce pauvre piano qui n'avait rien demandé. Elle aurait pu le faire chanter. Le dire aux autres. Il aurait eu la pire réputation qui n'ait jamais existé. Bon, finalement, s'il était réellement un tueur en série, il l'aurait tuée. En première, et puis c'est tout. Mais il n'était pas un tueur en série. Et puis il aimait bien les blondes. Comme elle venait de le dire, elle l'était, blonde. C'était d'ailleurs l'une des rares nanas blondes qui n'avait pas l'air idiote. Une première. Tout le monde connait cette rumeur, comme quoi les blondasses étaient stupides. C'était bien vrai, en général. « Et quelle blonde ! » Se permit-il de répondre. Davidson, dans son lit ? Non mais c'était d'un mauvais. « Je.. tu me trompes ! Sale garce ! » Il prit un air offusqué, à nouveau, avant de rire, simplement. Il aurait du éviter. Puisque la jeune femme en avait profité pour l'asperger d'eau. Elle y prenait gout, visiblement. Il ferma les yeux, mettant ses deux mains sur ceux-ci, ronchonnant presque. « Je vais la tuer. » Il retira ses mains de ses yeux, les mit sur ses épaules, et la poussa, jusqu'au moment où elle se retrouva, bloquée, contre le mur. Il serrait ses épaules contre celui-ci, elle était donc dans l'impossibilité de bouger. « On fait moins la maline, maintenant. » Il tira par la suite la langue. De vrais enfants.
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| | | Harley
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| Sujet: Re: oye mami, vuélvete loca, aruñame la espalda y muérdeme la boca ⁂ 18 août, seize heures. Jeu 18 Aoû - 22:08 | |
| C'était étrange de se dire que finalement, on ne connaissait rien des autres et que quelque chose nous liait à eux. En ce qui me concernait, cela touchait qu'une infime partie des candidats. Non j'étais assez réticente, non pas par snobisme ou parce que je n'aimais pas les gens, simplement j'avais du mal à m'attacher ou à me fondre dans la masse aussi facilement que les autres. Avec Jones pourtant, le feeling était passé immédiatement et ce dès son arrivée sur le yacht. Il était drôle et m'inspirait confiance bien que comme je le disais nous passions pas notre temps en permanence ensemble. Quoi qu'il en soit, il ne fallait pas chercher midi à quatorze heures, c'était l'un des nombreux mystères de la vie qui resterait sans réponse. Et on s'en balançait à bien y repenser. Bref. Mon sourire s'étirait sans cesse, c'était assez agréable en réalité. N'allez pas croire que je ne souriais jamais, il me fallait juste une bonne occasion et un bon partenaire. Il s'avérait que les deux éléments étaient réunit en même temps. « Je parie que c'est encore un film pour adolescent en fleurs normale que je ne connaisse pas. » Je relevais le menton jouant la dame blasé, non en réalité le cinéma et moi ça faisait deux ces derniers temps. Bref, je l'écoutais me raconter que sa mère lui avait ordonné de zigouiller tout le monde. « Oh parce que t'es du genre à écouter sagement ce que te dis ta maman ? Pauvre maman Jones, comment oses tu la mêler à ta folie ? » J'étais par toutes les palettes d'émotions en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, si bien qu'à présent l’indignation pouvait se lire sur mon visage. Indignation qui relevait de la comédie évidemment puisque je tentais par tous les moyens de contenir mon rire qui menaçait chaque minutes. Sa remarque concernant ma couleur de cheveux me fit sourire, son air plus qu'équivoque en disait long si bien que je le regardais d'une toute autre façon plus sensuel, me prenant au jeu. « Je suis exceptionnelle, je sais mais t'as encore rien vu ! » J'avais ensuite confessé au brun que le fameux davidson m'attendait, quel beau mensonge. « TU me trompes, tu sais que tu m'as brisé le coeur en invitant Marilou dans la suite du Capitaine, non je pensais qu'entre nous c'était du sérieux ... » Je baissais les yeux, ma lèvre tremblotante était un subterfuge, il n'allait certainement pas s'attendre à ce que je l'arrose de la sorte, bon il devait avoir reçu à peine trente centilitre d'eau mais peu importe. D'ailleurs sans que je m'en rende compte, il m'avait plaqué contre le mur, m'empêchant de bouger. « Qui te dit que ce n'était pas ce que j'attendais, que tu te jettes sauvagement sur moi comme ça hein ? » Malicieuse à souhait, je ne me laissais pas décontenancé, d'ailleurs, je lui tirais la langue à mon tour, il allait bien finir par me laisser partir à un moment donné. J'étais patiente, très patiente. |
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