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 make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.

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Jones

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MessageSujet: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyDim 31 Juil - 23:45

marilou.

Jones aimait beaucoup de choses. Dormir, manger, boire. Dormir aussi. Oui surtout dormir. En fait, dormir était son 'échappatoire'. Lorsqu'il dormait, il n'embêtait personne, il se sentait juste bien. Mais voilà, toute bonne chose a eu fin. C'est donc sur les coups de quatorze heures et quelques qu'il s'éveilla, ses yeux bruns s'entrouvrirent alors, presque timidement, pour apercevoir le décor qu'il occupait depuis quelques temps déjà. Il sortit de son lit, fit un sourire à ses colocataires, avant d'aller commencer sa journée. Il vagabondait alors, après avoir pris une bonne douche revigorante et un petit déjeuner qu'il l'avait mit en forme, dans le yacht, à la recherche d'une activité, d'une personne, de quelque chose à faire ou de quelqu'un à embêter. Il parcourra quelques salles. Hm, non. Aucun de ces candidats ne semblait bon pour faire des conneries. Ou plus si affinités, qui sait ? Bref. Il passa près du Mistral, et là, une idée lui vint. Il se dépêcha d'aller derrière le bar, de récupérer une bouteille de Vodka, et de sortir de la pièce. Il allait se bourrer la gueule. Après tout, qui ça gênait ? La plupart des habitants avaient du l'oublier, il n'avait qu'à voir le prime qu'il avait passé tout seul. Presque flippant. Presque, hein. Il bu quelques gorgées, arrivant près de la salle de bain, il vit une petite silhouette blonde en train de se faufiler aux toilettes. Cette nana, il l'avait déjà vu, même parlé. C'était Marilou. Une tarée, comme les autres, bref. N'ayant rien d'autre à faire, il la suivit, malgré le fait qu'elle soit entrée dans l'un des cabinets. Il savait lequel, il l'avait espionnée. Non Jones n'était pas pervers, il était juste... Bon d'accord, c'était un gros pervers. Il toqua à la porte, celle derrière laquelle était cachée la jeune blonde. « MARIIIIIIIIIIILOUUUUUUU ! C'EST JOVANNY !!!!! » Il avait peut-être - sans doutes - l'air d'un con à crier à une porte, mais il était quelque peu sonné par les quelques gorgées qu'il avait bues. Et puis, n'ayant pas de réponse, il poussa la porte et découvrit que la jeune femme était sur les toilettes. Simplement assise sur les toilettes. Bizarre. Seulement lui, il ne trouvait rien de mieux à faire que de partir dans un fou rire, regardant la jeune candidate de haut. Trop bizarre. « Tiens. » fit-il, lui tendant la bouteille de Vodka, souriant assez niaisement. Pervers.
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyLun 1 Aoû - 0:31

C’est marrant, les gens qui trouvent le moyen d’hurler à mort alors que vous êtes en pleine réflexion. Genre, là, j’étais en train de me dire qu’on est déjà le quatre aout, et que les nominations étaient hier, et que je vais savoir si je suis nominée ou pas. Parce qu’à cause du monsieur-méchant-à-qui-je-n’adresserai-jamais-la-parole-parce-qu’il-est-méchant, bah, j’ai déjà une voix contre moi. Tout simplement parce que j’ai refusé de faire du MENAGE à huit heures et demi du matin, le lendemain de cuite, alors que j’avais une putain de gueule de bois. Donc, je risquai potentiellement d’être nominée, et donc de partir, et ça c’est la mooooort mes amis. La loose, le truc qui vous donne envie de crier : mais pourquoi, ô oui pourquoi bande d’abrutis ? Et, en même temps, j’ai le regard fixé sur le papier toilette (oui, parce que je trouve le moyen de réfléchir en plein pipi, et commentez pas hein, je sais très bien que ça vous arrive aussi) et je m’imagine faire comme dans les pubs là ; Vous savez, les gens qui se font des trips avec, genre, la fille qui se fait une « robe » de mariée, tout ça. Un jour, en pleine nuit, je mettrais du papier toilette partout sur la tronche des gens pendant qu’ils pionceront. Par contre, faudrait que j’arrive à désactiver temporairement toutes les caméras, histoire de rester secrète hein. Mais je n’ai pas encore cette faculté. Dommage. Et, alors que j’entamais la petite commission (oui, les détails, en même temps, un sujet dans les toilettes, je suis désolée, mais on ne fait pas trente-six milles activités dans les toilettes, sauf ça, ou encore baiser, ou encore se faire des plaisirs solitaires, ou encore se droguer, ou encore fumer en cachette) quelqu’un trouve le moyen de toquer à la porte. Et d’hurler mon nom. Jovanny. Aaaah, le type là ! Il a l’air taré à crier à la porte. Vous croyez qu’il veut que je sorte histoire de m’égorger dans les toilettes. Putain, crever dans des toilettes, quelle fin pourrie. Il est flippant ce garçon. Problème dû à l’enfance peut-être. Alors, moi, j’ose à peine bouger vous savez. Je finis ce que j’ai à faire, et puis, je reste assise comme une idiote à regarder la porte. Et cet abruti fini trouve le moyen de pousser la porte. DOUX JESUS, je n’avais pas fermé ? Pourquoi je n’avais pas fermé ? Pur reflexe, je pousse un « daah » digne d’un lapin crétin et referme la porte d’un coup de pied. Hm, je crois qu’il me tendait sa bouteille de vodka, mais je n’en suis pas sûre. Soit. Ce type est un malade. Mental. J’en ai peur. Remontage de slip, bouclage de pantalon. Je me demande un instant si je risque ma vie en sortant de cette cabine de toilettes. Enfin, il n’avait l’air d’être armé que d’une bouteille de vodka. Ce qui n’est pas si mauvais, quand on y réfléchi. Bon, je ne vais pas rester enfermée là hein. Alors, je sors. J’avance vers les lavabos, me lave les mains, et me tourne après vers Jones, aka Jovanny. « T’es bizarre comme gars tu sais. »
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyLun 1 Aoû - 22:29

Hm. Que les candidats qui pensaient que, lors de leurs aventures, ils allaient surprendre quelqu'un dans les toilettes, en train de faire ce qu'il avait à faire, en lui tendant une bouteille de Vodka remplie au trois quarts seulement, avec un rire niais et abruti, et que cette personne ne tape pas... ne fracasse pas, pardon, la personne qui a osé la déranger, lèvent la main. Jones n'aurait pas levée la main. Non, il ne se savait pas pervers. Du moins, pas assez pour pouvoir déranger Marilou pendant qu'elle était en train de se vider sur les chiottes. C'en était presque flippant. À vrai dire, ça l'était. Jovanny, s'il était sobre, en ce moment précis, se serait mis à genoux - quoique - et aurait suppliée Marilou de ne rien dire aux autres et surtout, qu'elle ne tienne pas compte de ce qu'il venait de faire. Mais en fait, il avait la flemme. Il ne l'avait que... surprise aux toilettes, ce n'était pas si grave, en soit. Il ne la connaissait pas, du moins, peu, mais il pensait qu'elle allait prendre ça à la rigolade. Et puis ce n'était pas non plus comme s'il était dans son état normal, pas vrai ? Visiblement, elle n'a pas envie d'attraper cette bouteille de Vodka, puisqu'elle s'échappe du cabinet. Soit. Il se colle contre la paroi de ce dernier, pour la laisser passer, avec cependant un regard assez furtif sur ses fesses. Ce n'était pas voulu, pensez-vous. Finalement, il permit à une nouvelle gorgée de cet alcool de se glisser dans sa gorge, pendant qu'il regard, d'un œil distrait, Marilou en train de se laver les mains, et plus particulièrement l'écouter dire qu'il est bizarre. Sans crier gare, le liquide qu'il avait en bouche vint se retrouver sur maillot de la jeune femme. Il n'était pas particulièrement clean et il rigolait pour un rien. Les deux réunis faisaient qu'il faisait, simplement, n'importe quoi. Il posa la bouteille près du lavabo. « Moi, bizarre? Je te retourne le compliment. » fit-il, en souriant. Finalement, il se rapprocha d'elle, assez silencieusement et, surtout, doucement, tripotant ses cheveux blonds avec ses doigts. Puis, il reposa son regard dans le sien. « L'odeur de ses choses là reste longtemps, tu sais. » Il fallait comprendre par là : 'retire ton t-shirt, sale garce'. Entre autre, n'est-ce pas? Ensuite, il lâche ses cheveux et s'assoit près du lavabo, attrapant la bouteille de Vodka qu'il avait posée à côté d'eux il y a quelques secondes plus tôt et de la redonner à la jeune femme. Elle allait boire, oui ou merde?
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyMar 2 Aoû - 12:00

NOM DE DIEU DE MERDE. Mais c’est quoi ce crétin. Il est dans le jeu pour sa performance à détruire un bustier, lui ? Non, je ne m’énerve pas. Je reste calme. Calme. Je ne vais pas l’assommer avec sa bouteille de vodka et essayer de le jeter par-dessus bord. Non. C’est qu’un bustier. (oui, bon, un bustier qui n’est pas donné et à cause de qui j’ai dû économiser pendant des mois pour l’acheter) Je grimace en regardant l’état de mon bustier. Je me demande si c’est récupérable ou non. Fais chier. Mais quel con ce type. Souris, Marilou, souris, et ne t’énerves surtout pas. C’est plus facile à dire, comme toujours. Je rêve de lui éclater la tronche tiens. Oui, il ne faut SURTOUT pas s’en prendre à mes vêtements, mes chaussures ou encore mes sacs. Même si ce n’est pas intentionnel. C’est un crime. Et il trouve que JE suis bizarre. Le type, il se ramène dans des toilettes avec une bouteille de vodka, sans doute déjà pas très clean, et rentre dans les cabines alors que vous êtes gentiment occupée à faire vos petites affaires, mais, tout est absolument normal. Soit. Et il ose s’approcher de moi, me regarder comme ça et même tripoter mes cheveux. Je meurs d’envie de lui coller une gifle monumentale. Mais après, pour un bustier, on va dire que c’est abusé. Et je passerai pour une tarée. Encore. MAIS MERDE, MON BUSTIER BORDEL DE MOULES, OU VA LE MONDE ? « L'odeur de ses choses-là reste longtemps, tu sais. » J’ai envie de comprendre par-là qu’il se propose généreusement pour essayer d’enlever la tâche et les odeurs en frottant comme un malade sur mon bustier. Mais je doute sincèrement que ce soit une proposition de faire de la lessive. Je reste sans voix. Comprend-il seulement qu’il vient de bousiller ma vie en quelques secondes ? (oui, juste en bousillant mon bustier, mais je suis une fille hein) Apparemment non. Monsieur connait mal les femmes. Il s’éloigne et me tend une nouvelle fois la bouteille. Bon dieu. Plus acharné, y’a pas. Alors quoi ? J’en suis réduite à picoler dans les toilettes ? Putain, je vais vraiment devenir ivrogne, je vous le dis. « Attends, tu me proposes de boire pour oublier que tu viens de détruire mon bustier là ? » Bizarre, ce garçon, vraiment. Oh, puis merde. Je pue la vodka à cause de ce connard. Alors autant en boire, parti comme c’est parti. Alors, j’attrape sa foutue bouteille et en boit une gorgée. Yurk. Il est quinze heures et des poussières, et je bois dans les toilettes. Pitoyable. Je serais tentée de recracher tout le liquide sur ton tee-shirt à lui, en guise de revanche. Mais non. Je me contente de l’avaler en grimaçant un peu, et de lui redonner la bouteille. Mais qu’est-ce que je fous là encore.
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyJeu 4 Aoû - 15:17

Généralement, la Vodka, on la boit, on ne la crache pas sur son prochain. Mais il n'avait pas fait exprès, vous comprenez ? Ou si, peut-être un peu. Un peu beaucoup, ça dépend du point de vue de chacun, en fait. Non en fait, il voulait la baiser violemment contre la paroi des toilettes. Ou pas. Il ne savait pas, en fait. Non, il ne savait plus où il en était, il savait à peine où il était, l'alcool commençait - ou continuait - à faire son effet. Mais il n'allait pas arrêter de boire. Ça l'amusait, c'était assez cool. Et il ne s'en voulait pas vraiment de lui avoir craché dessus, enfin, si, mais ce n'était pas non plus LE drame de l'année. Non, ce n'était qu'un bustier. Ce n'était pas la mort, ou pire, la fin du monde. Mais il voyait bien que ça l'a faisait chier, enfin, normal, mais un peu plus que des gens normaux sur qui on aurait crachée la Vodka. C'en était presque marrant, il avait envie de lui rire au nez, mais il se retenu, par respect, m'voyez. Lui proposer de boire pour oublier ? « Ouaip'. Non mais de toutes façons il ne t'allait pas, et puis si tu y tenais vraiment, je te le rachèterai. Je peux au moins faire ça. » fit-il avant de sourire. Finalement, elle prend la bouteille en main - eurêka ! enfin ! - et en boit une gorgée. Elle à l'air de ne pas aimer. Oui bon, c'est de l'alcool, c'est normal. Et puis boire dans les toilettes ce n'est pas forcément une partie de plaisir, mais elle n'avait qu'à pas être en train de pisser lorsqu'il était venu lui rendre visite ! Il aurait pu boire avec quelqu'un d'autre, mais, franchement, qui d'autre aurait pu boire comme ça dans les chiottes? Briony ? Laissez-le rire ! Non, Marilou était clairement LA bonne personne, c'était indéniablement indéniable. Puis, elle lui repasse la bouteille. Ah oui, déjà ? Il la reprit, un léger sourire de compétiteur aux lèvres, alors qu'il reporte la bouteille à celles-ci. Et puis merde. Il repose la bouteille d'alcool sur le rebord des lavabos, puis se remet debout en face d'elle. Il la toise du regard, et puis, il s'approche d'elle, lentement, écrasant ses lèvres contre les siennes. Simplement. Il se recule quelques secondes, se mordillant la lèvre inférieure. Bon là, il sentait la claque arriver, c'était totalement prévisible, mais il espérait qu'elle n'allait pas le faire. Car, s'il l'avait embrassée... C'était, juste, parce qu'il en avait envie?
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyJeu 4 Aoû - 17:16

Me le racheter. En voilà une très, très bonne idée. Excellente même. Le pire, c’est que maintenant que je me dis qu’il est foutu, et qu’il se propose si généreusement, je crois que je serais capable de le harceler pour qu’il me le rachète vraiment. Oui, même après le jeu (en espérant qu’il n’habite pas trop loin merde). Je disais donc, mais qu’est-ce que je fous là. Boire dans les toilettes. On me prendrait pour une alcoolique. Une alcoolique désespérée. Ou une alcoolique qui se met au défi de boire dans les endroits les plus improbables peut-être. Et il est quinze heures, bordel. Ce n’est pas tellement l’heure. Mais qu’est-ce qu’il vient foutre là lui aussi, avec sa foutue bouteille, il aurait pu attendre jsais pas moi, ce soir. « Ouais, tu peux au moins faire ça. » oui, je suis encore avec cette histoire de bustier. Mais merde quoi. Je ne suis pas une fille pour rien. J’aime mes vêtements. Encore heureux que je ne les aime pas au moins de leur donner un nom. Genre, Alberta le bustier. Hm. Je vous assure, je n’ai bu qu’une seule gorgée de sa bouteille. Enfin, visiblement, lui, il n’en était pas à sa première. Mais, même bourrée, je crois que je n’irais pas dans les toilettes pour trouver quelqu’un et lui proposer à boire. Trop tordu. Puis, il pose finalement la bouteille. C’est tout ? C’est bien la peine de venir m’emmerder pour ça hein. D’autant plus que j’ai rien demandé à personne moi hein, j’étais simplement en train de pisser comme une personne on ne peut plus normale. Il me toise du regard. Quoi encore ? C’est quoi ça, de la provocation ? Ce type est louche. Je vous le dis, moi. Et, il s’approche de moi. Encore plus louche. Je m’apprête à ouvrir la bouche pour lui demander ce qu’il fout, mais, à vrai dire, je n’ai pas le temps de décrocher un mot que ses lèvres s’emparent des lèvres. J’aurai peut-être dû jouer la fille frustrée et le repousser. Faut croire que ce n’est pas dans mes cordes, ça. Et, de toutes manières, j’ai étais prise de court. Il recule. Il semble même inquiet. Je devrais peut-être lui coller une gifle pour un simple baiser innocent ? Quand même. Et puis, on ne peut pas dire que je ne l’ai pas apprécié hein. Simplement, je suis surprise. C’est ce que je disais. Ce type est bizarre. « Repasse-moi la bouteille, espèce de malade. » Soit, qui à se prendre à son jeu, autant le faire entièrement. Je vais vite regretter de prendre la décision de boire. Mais tant pis. Autant être dans le même état que lui. J’imagine. Et, je ne sais pas ce qu’il a (en fait, il est peut-être défoncé en même temps d’être ivre) (quoi que je doute qu’on puisse emporter un peu n’importe quoi ici) mais, il n’me passe pas cette foutue bouteille, alors j’le contourne pour l’attraper et je m’assois sur les lavabos. « Alors on fait quoi ? On boit dans les toilettes, et c’est tout ? » Je bois. Yurk numéro deux. Dah, c’est ignoble. Pourquoi je bois moi ? Je n’en sais rien. Je n’ai pas envie de chercher non plus. Après quelques longues gorgées (yurk encore), je lui repasse la bouteille. Ca me rappelle vaguement ma nuit avec Cameron tiens. « Si t’avais dans l’idée de coucher avec moi, c’est raté mon joli. Briony débarquerait, j’en suis persuadée. C’est un radar à cul cette fille. » Le pire, c’est que j’ai raison. Trois fois qu’elle empêche des gens de coucher ensemble hein. (ou juste se faire quelques plaisirs), j’me demande comment elle fait. Sérieux.
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyJeu 4 Aoû - 23:28

Avec sa cagnotte - que chaque candidat sortant gagnait - il pourrait aisément repayer son bustier qu'elle avait l'air de chérir tant. Soit, ça ne le gênait pas plus que ça et puis, c'était lui le fautif dans l'histoire. Ou presque, Marilou aurait pu partir, se cacher quelque part. Et il ne l'a pas non plus forcée à boire. Ça aurait pu être marrant, voire même intéressant, de voir comment elle aurait réagit s'il lui avait foutu la bouteille directement aux lèvres. Mais non. Bref. Elle était opportuniste, la nana, parce qu'elle ne perdait pas une seconde pour lui dire, qu'en effet, le racheter serait une très bonne idée. Soit. Il lui sourit, assez naisement, avant de l'embrasser. Il en avait envie. Non pas forcément d'embrasser Marilou, mais une personne, de se dire que, quelqu'un, tenait 'un minimum' à lui dans ce jeu. Et le fait que Marilou ne le baffe pas le confortait dans ses idées. Il avait bien envie de lui soulever le bustier, là, tout de suite, pour voir ce qu'elle allait faire ou dire, mais non, ce n'était pas ce genre de mec. Enfin, il baisait avec des inconnus, comme chaque personne au moins une fois dans sa vie, mais lui, il avait besoin d'alcool pour ça. Simplement car baiser avec des gens qu'il avait vu une ou deux fois, ce n'était pas son trip. Or, là, il était un peu - beaucoup - bourré, et n'importe quoi pouvait arriver. Si la belle blonde était consentante, ça va de soi. Elle lui demande de lui repasser la bouteille. La flemme. Il la laisse la prendre, elle était assez grande pour ça. Il lui sourit. Simplement. Ca allait dévier, c'était obligatoire. Elle enchainait gorgée après gorgée, et lui était déjà bien atteint, inutile de décrire la suite. Elle s'assoit près des lavabos, lui, il se contente juste de poser son coude près des lavabos, la toisant du regard. Ensuite, elle demande ce qu'ils font. Ils boivent, seulement ? Non, il voulait parler. Ou plus. Faire plusieurs choses à la fois, en fait. Ou bien faire des conneries. « Non. On baise aussi. Dans l'un des cabinets si t'es pudique. » Sourire de pervers ancré au visage alors qu'il l'observe toujours, ses traits, ses yeux, sa bouche qu'il venait d'embrasser. Et autant dire qu'il n'avait pas détestait s'emparer de ces lèvres. Pour la première fois dans le jeu, c'était très bien. Enfin non, il y avait eu Pepper-Ann lors du jeu que la blonde avait, elle-même, organisé, mais c'était différent et puis, il venait d'entrer dans le jeu, donc il n'avait pas voulu y aller vite et violemment, m'voyez. Surtout que la brune semblait être une petite chose fragile. Soit. Sa prochaine réplique le fit sourire, voire rire. Cette bonne vieille Brioche, toujours là pour alimenter les ébats. Enfin, d'après ce qu'il avait compris. Enfin soit, elle faisait ce qu'elle voulait, mais, en tout cas, si elle venait à surprendre Marilou et Jones - s'il y avait quelque chose - ça ne le dérangerait pas. Loin de là. « Dommage qu'elle ne se soucie pas du sien, vu l'ampleur qu'il prend au fil des jours. » Il roula des yeux, un instant, puis deux. Finalement, il se rapprocha d'elle, assise, et lui, debout, face à elle. Il la toise, toujours autant, un silence assez pesant s'installant donc. Il fronce des yeux. Toujours ce silence. Et il perdure, encore et encore, alors qu'il passe une main dans le dos de la jeune femme, pour la faire descendre, s'emparant une nouvelle fois de ses lèvres. Elle n'avait pas intérêt de désister, pas maintenant. Il la prit par la main, lentement, pour l'amener vers un des cabinets, levant, délicatement, son bustier de l'un de ses doigts. Que le jeu commence ?
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  EmptyVen 5 Aoû - 0:46

On baise. A l’origine, je n’étais pas venue dans ses toilettes pour baiser. Ah ça non. En l’occurrence, Jones est bien ivre. Je me demande s’il aurait dit la même chose, s’il ne l’était pas. Sans doute que non. Si je me fais vulgairement baisée dans les toilettes, maintenant, je me demande s’il ne le regretterait pas après. De toute façon, ce n’est pas mes affaires. S’il me saute dessus bourré, à lui d’en assumer les conséquences (lesquelles ?) le lendemain. « On baise. Charmant. » Avouons-le, ce n’est pas en disant « on baise » qu’un mec arrive, généralement, à choper une fille. Non pas que je m’attende à des choses plus romantiques ou délicates. On ne se connait pas. En fait, je me rends compte que, de toutes manières, je ne m’attends à rien. L’ampleur du cul de Briony. A méditer. Je ne trouve rien à redire là-dessus. Et, il se rapproche de puis. Me regarde toujours avec ce même regard. S’en est perturbant, à vrai dire. Le silence. Je devrais partir. Je le sais. Il est ivre. Et il fait partie de ces candidats dont je suis le moins proche. Je crois que je n’ai pas envie de réfléchir. Je vais attendre. Ouais. Je porte mon regard au garçon. Il a de beaux yeux. Je n’ai pas envie de parler. Je n’ai plus envie de rien. Etrange. Le silence continu. On va peut-être rester comme ça longtemps, qui sait. A se regarder dans le blanc des yeux et à ne pas ouvrir la bouche. Finalement, non. Il décide de faire quelque chose. Je crois que je n’aurai strictement rien fait, s’il n’avait pas bougé. Je serais juste restée là. A attendre qu’il parte, ou qu’il fasse quelque chose, ou que quelqu’un arrive. Il colle sa main contre mon dos et me pousse à descendre des lavabos. La bouteille de vodka ? Oubliée. Et il m’embrasse pour la seconde fois. Je ne saurais pas dire pourquoi, ni comment, mais j’accepte et je le suis dans ces foutus cabinets. C’est d’un vulgaire, baiser dans les toilettes. Je ne sais même pas si j’en ai envie. C’est rapide. Mais, je sais que je n’ai pas envie de refuser. Boire et baiser dans des toilettes à quinze heures. Distingué. Très. Il s’occupe de mon bustier. Horriblement sale. Toujours. Irrécupérable, même. Je serais peut-être irrécupérable, moi aussi. Après « ça ». Peu importe. S’il s’occupe de mon bustier, alors je m’occupe de ton t-shirt. Je passe mes doigts sous son maillot. Caresse son torse quelques instants, puis attrape le tissus par ses extrémités et le remonte lentement. Jusqu’à ce qu’il finisse de l’enlever. J’allais donc baiser dans les toilettes. Si médiocrement. Je n’ai pas envie de parler. Ce sera un coup vite fait, j’imagine. Je repose mes mains sur son torse, encore une fois. Et je les remonte pour les passer autour du cou de Jones. Mes lèvres partent à la découverte de son corps. Enfin, elles s’occupent plutôt de de son cou, de ses joues, pour le moment. Mais reviennent vite sur ses lèvres à lui.
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MessageSujet: Re: make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.    make your body pierce the pain, eyes roll back around, when skulls hit the ground ✝ 4 aout, quinze heures vingt.  Empty

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